Interview Time Out (Radio 1) met Michaël Robberechts

Interview Music Matters (Klara) met Olav Grondelaers

Interview radio rtbf.be/ classic - 21- lounge avec Patric Bivort, 18/03/23 ( à min 58 )

Review CD Dear Darkening Ground on radio BX1 100% Jazz avec Fabrice Grosfilley
Interview Musiczine
Aankondiging tournee in Knack (Liever Live)
Concertverslag Ha Concerts (Luminous Dash)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (JazzNu)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Damusic)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (UKVibe)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (De Standaard)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (CultureJazz)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Luminous Dash)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Enola Magazine)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Cutting Edge)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Het Nieuwsblad)
Albumrecensie Dear Darkening Ground (Musiczine)

Interview en albumrecensie Dear Darkening Ground (Le Soir ****)

Interview Georges Tonla Briquet, Big In Belgium,Jazzism Nederland

jan 2023

Quatre nouveaux disques de nouvelle année - Culture Jazz.fr

(...) Natashia Kelly laisse parler sa sensibilité, sans emphase mais avec un caractère certain. Les musiciens habillent sa voix avec une justesse et une économie de moyen qui offre de l’espace au chant sans l’isoler. Les mélodies ainsi traitées accrochent l’oreille de l’auditeur à tout coup. Un beau disque empli d’une musique originale qui n’ignore pas le lyrisme et sa poésie, difficile à mettre dans une case, ce qui selon nous est plutôt bon signe. A découvrir. (Yves Dorison, jan.2023)

Bjorn Weynants - Enola.be

(...)Dear Darkening Ground is een album dat staat als een huis. Klein, gevoelig, doorleefd. Een prachtige ode aan de natuur. Het jaar is nog maar net gestart, of Natashia Kelly levert hier al een album af dat het niveau legt voor de eindejaarslijstjes.

CD "Inside The Wave" 2020

Eric Vandamme, musiczine.net   jan 2020

(...)This virtuoso doesn't stick to one style: she improvises with her musicians to infinity; that makes us gasp for breath.

With each song you see the many colours of the rainbow come through, giving a nod to Natasha's Irish background. Within this atmosphere she proceeds very ingeniously to put the listener on the wrong track and she constantly skipps between that wistful intimacy and a folky atmosphere inviting to dance.

(…)With melodies that touch your heart and a crystal-clear voice, Natashia Kelly Group presents an album with 'Inside The
Wave' that moves you on the one hand and hovers you over the dance floor of life on the other hand.

Concert review Jan Van Stichel  : jan 2020                                                                                                                            (...) Her melancholic vibrato, bluesy tremolo and beautiful poetic texts squeeze you the throat relentlesssly. Never heard such breathtaking silences in The Black Cat as that night.

Jazz Halo, Bernard Lefèvre,, jan. 2020:                                                                                                                   (…) She's really fascinating as a songwriter. Everytime you are all ears to let the poetry settle.

Da music, Jeroen Poelmans, 24 jan. 2020:                                                                                                          « Inside The Wave » is a very special debut that turns out with strong but fragile songs that will overwhelm many listeners with emotions. Don't expect traditional jazz, but a fascinating mix of tradition and modernity. It is precisely that unconventionality that makes the album so powerful.

Enola,  Bjorn Weynants,, jan. 2020 :                                                                                                                  These are songs where the band digs for the essence of the song. Ornamentations are omitted, but it is precisely because of this that they know how to get you in the gut by pure beauty.

Jazz Halo,  Bernard Lefèvre, jan. 2020:

(…) Fascinant comment elle confirme en tant qu'auteur-compositeur-interprète

Nos oreilles sont pointu pour pouvoir laisser couler les textes(lyrics)

Eric Vandamme, musiczine.net févr. 2020

 (...) Cette virtuose qui ne se laisse pas enfermer dans un seul style et qui improvise à l’infini avec ses musiciens nous tient réellement en haleine ! Chaque chanson nous dévoile une nouvelle couleur de la large palette maniée par Natashia Kelly. Au cœur de cet arc-en-ciel, on ne peut ignorer ses origines Irlandaises. Dans son univers, elle déconcerte très ingénieusement son auditoire, et saute constamment entre une intimité mélancolique et une atmosphère folklorique qui vous traverse et invite à la danse. Écoutez "Sacred Song" où la voix de Natashia touche des cordes très sensibles, puis célébrez les rênes et les paysages du Grand Nord dans un méli-mélo de sons étranges qui caressent les oreilles avec un mélange de mouvements ondoyants et qui transportent votre esprit dans un univers féerique.

Avec une voix cristalline et des mélodies qui vont droit au cœur, Natashia Kelly Group présente 'Inside The Wave' un album aux multiples facettes qui saura tour à tour vous émouvoir ou vous faire flotter sur le dance-floor de la vie.

Da music, par Jeroen Poelmans, 24 jan. 2020:

(…) 'Inside The Wave' est un début spécial qui s'avère avec des chansons fortes mais fragiles que de nombreux auditeurs vont submerger d'émotions.

(…) La technique de chant Sean-Nòs, qu'elle applique, a un impact émotionnel surprenant , même quand elle chante sans accompagnement instrumentale, c'est clair que le chant est si fort.

Enola, par Bjorn Weynants, jan. 2020 :

(…) C'est la musique d’un groupe qui creuse jusqu’à obtenir l'essence des chansons. Sans fioritures, la beauté pure et dépouillée de leur création vous touche au cœur.

(…) Les influences celtiques restent subtiles, mais surtout lorsque l'accompagnement disparaît soudainement, la voix a capella de Kelly crée un point culminant touchant. 

Concert review par Jan Van Stichel dans Jazz'Halo: 2020

Son vibrato mélancolique, tremolo bluesy et paroles magnifiquement poétiques vous pincent la gorge sans relâche. Jamais on a entendu cette nuit-là ses silences a couper le souffle au BlackCat.  Avec les deux rappel « Round Midnight » et du Bob Dylan « Ballad of A Thin Man », Natashia a prouvé de manière convaincante qu'elle peut facilement gérer de nombreux genres.

Il y a quelque chose de fantomatique dans ces poèmes chantés. Il y a toute la délicatesse d’un jazz de chambre aux parfums celtiques dans «Ocean» Puis, en duo guitare et voix, elle nous offre un dernier «Round Midnight» hors du temps.

Trois quarts d’heure merveilleux, d’une intensité froide et envoutante. Trois quarts d’heure dans un autre monde.

Jazzstation, Jacques Prouvost

 Apparue dans une très élégante robe de satin rouge, Natashia Kelly est entourée d'une magnifique contrebasse, tenue avec grâce par Brice Soniano et d'une Stratocaster fine et gracile toute aux mains de Jan Ghesquière. Tout est élégance et subtilité, c'est immédiat. Le groupe obtient d'ailleurs une qualité d'écoute excellente et un silence respectueux. La musique est exigeante, d'autant que les musiciens se promènent sur le fil sans appuis rythmiques traditionnels. Et puis Natashia chante, d'une voix surgie de nulle part, maniant des palettes sonores diverses et entrelacées, dans un registre totalement personnel et habité, qu'on aurait sans doute tort de réduire aux quatre lettres du mot jazz. C'est profond et déchirant, envoûtant et intense, dans une coloration qui marque une très forte personnalité musicale. On avait pu croiser le chant de Natashia sur le très bel album Earthsong du batteur Lionel Beuvens

Les progressions mélodiques sont étonnantes, démarrées par exemple d'un claquement de mains sur un titre sidéral. On a l'impression de passer de Dead Can Dance (que Natashia Kelly confirmera ne pas connaître du tout après le concert) à quelques jolies visions d'Irlande avant même de revenir à une reprise incroyable de Ballad of a thin man de... Bob Dylan. Extrêmement intéressant, d'une sûreté vocale inouïe, passionnant et intrigant, un trio à suivre de très près. Un EP disponible à ce jour, sans doute en s'adressant directement à Natashia Kelly sur sa page Facebook. Just ask.                                                                 Review de Yann Viseur, concert à L'Aéronef Lille, 18/03/'18 :

Radio Klara :

- in 2018 + 2019 : Natashia Kelly Group "Inside The Wave" in" Late Night Shift" en "Valckenaers&Vanhoudt"

-  in 2017 : Natashia Kelly- Brice Soniano duo op 5 okt. in "Late Night Shift"en 8 okt. in Valckenaers&Vanhoudt :

  https://klara.be/playlists/late-night-shift/2017-10-05  en https://klara.be/playlists/valckenaers-vanhoudt/2017-10-08

- in 2016 :Natashia Kelly Group EP : Valckenaers&Vanhoudt  

Review Enola (April 2018) Guy Peters  "Here was a group that goes straight to the essence. Two sets filled with interaction that put you frequently to the point of your chair. It was stunningly beautiful. The striking poetry of Kelly & co. can't no longer be denied."

Enkele ingekorte pers uittreksels:

Musiczine.net, Eric Vandamme

 Dat deze virtuose zich niet vastpint op één stijl en met haar muzikanten aan het improviseren slaat tot het oneindige, doet ons nog het meest naar adem happen.
De vele kleuren van de regenboog komen boven drijven bij elke song opnieuw. Daarbij wordt de Ierse achtergrond van Natashia trouwens uitvoerig tentoon gespreid. Binnen deze sfeer gaat ze zeer ingenieus tewerk om de aanhoorder op het verkeerde been te zetten, en voortdurend schippert ze tussen die weemoedige intimiteit en een folky sfeer die op de dansheupen werkt.

Door middel van melodieën die je hart beroeren en een kristalheldere stem stelt Natashia Kelly group met 'Inside The Wave' een album voor dat zoveel kanten uitgaat dat het je enerzijds ontroert en anderzijds doet zweven over de dansvloer van het leven.

LP "The Uncanny" : Dat is een klein, maar vooral intrigerend pareltje van eigen bodem geworden, Philippe Cleen, Written In Music

 Het meest opvallende bij een eerste beluistering van opener “Duke” is immers de dosering waarmee deze compacte groepsimprovisatie gebracht wordt. Hebben nieuwere bands vaak de neiging om alles vol te spelen, dan is dit een opvallend evenwichtig samengaan van stemmen. Guy Peeters Enola

Kelly is geen klassieke zangeres die vanuit de blues of soul aangerend komt, maar meer verwant lijkt aan de Europese insteek van hedendaagse stemmen als Sidsel Endresen. Haar bereik is breed: ze speelt dynamisch met grotere en kleinere intervallen, laat de onbestaande taal rollen en even in de lucht hangen (recensie live concert NONA Guy Peeters Enola)

Samen creëren ze een luisterspel in vier hoofdstukken. Niemand is ondergeschikt aan de andere. Ze musiceren op één lijn. Kelly gebruikt haar stem hoofdzakelijk als een extra instrument. Enkel in de versie van Dylan’s “Ballad Of A Thin Man” schittert ze boven haar partners uit en klinkt ze als het nichtje van Laurie Anderson en Joanna Newsom.

Overtuigend debuut. gtb Georges Tonla Briquet,Rifraf   

L'archet s'anime alors, le son prend sa place dans les aigus, bientôt rejoint par la voix aérienne pour un premier morceau qui dérive progressivement vers des sonorités africaines, avec une très belle ligne de basse entièrement façonnée dans les harmoniques qui font sonner la contrebasse comme une dora. Crest Jazz Vocal

Natashia et Brice jouent l'un pour l'autre, chacun ayant à cœur de tracer pour l'autre un parcours à partager et à faire partager. Parcours d'introspection parfois hermétique et d'une grande sérénité. Michel Perrier

Quelle voix ! Quelle puissance ! Quand elle lâche les chevaux, c'est magnifique, Michel Perrier

La couleur amenée par la voix exploitée comme un instrument mélodique me fait me dire qu’il est vraiment dommage que de telles formations soient si rares… en effet, ces formations me séduisent par leur capacité à intégrer la force de la voix humaine parmi les instrumentistes, sans faire de ces derniers des subalternes de la voix. Kenzo Nera, Jazz Around, concert Flagey “Motu” Lionel Beuvens 

Vanaf “Emotions” bewees Kelly meteen haar vermogen tot nuance en subtiele timing. Ze heeft een wendbare stem, waarmee ze desgewenst in de blues kan duiken, maar die vooral toch uitblinkt in een hoger register.

...een knappe compositie, “The Ocean”, waarmee nog maar eens duidelijk werd dat het kwartet echt beschikt over een eigen stijl in het niemandsland tussen jazz, pop, folk en experimentele toetsen. 

Natashia Kelly Group in De Noker , Guy Peters

NATASHIA KELLY GROUP – THE UNCANNY EP

Door Philippe De Cleen op 06 december 2016

 4.5 van 5 sterren

Dat de zangeres geworteld is in de traditie merk je meteen aan de fraaie hoes van Sebastien Hendrickx die onder meer naar Duke Ellington (Orchestra), Ella Fitzgerald, Billie Holiday en The Big Sleep (good ol’ Humphrey Bogart & Lauren Bacall) verwijst. Jazz-erfgoed waar de nog jonge Natashia Kelly maar al te graag op steunt, al presenteert ze op haar ep vooral eigen werk.

EP  The Uncanny, Guy Peters 19/02/2016

Kelly heeft de laatste jaren ook gespeeld met muzikanten die je niets meer hoeft wijs te maken, en waarbij er vooral een opvallende voorkeur is om te werken met bassisten, veelal in duo. Zo werkte ze hiervoor o.m. met Laurens Smet, Nathan Wouters, Yannick Peeters, Lennart Heyndels en (vooral) Brice Soniano, die ook nu erbij is. Zo’n combinatie van zang en bas is natuurlijk een dubbeltje op z’n kant. Enerzijds creëer je zo ruimte, garandeer je dat je alle kanten uit kan en dat niemand je voor de voeten loopt. Anderzijds heb je ook minder houvast, weinig om op terug te vallen. En dat vergt zelfkennis en durf. Op The Uncanny hoor je een kwartet, maar het roer wordt daardoor niet helemaal omgegooid.

waarin het allemaal wordt samengevat, de kracht nog sterker naar de voorgrond treedt en een laatste, lange, woordenloze uithaal de gedaante aanneemt van een verscheurde en verscheurende kreet, een emotionele uppercut om even van te bekomen. Het is duidelijk dat het potentieel van deze zangeres en band enorm is, zeker als de vier persoonlijkheden uitgespeeld kunnen worden. The Uncanny is alleszins een veelbelovend visitekaartje, dat doet uitkijken naar concerten en (hopelijk) meer muziek

Georges Tonia Briquet,  RifRafmusiczine-maart 2016

https://issuu.com/rifrafmusiczine/docs/online-ezine-vl-maart16/1

“Natashia Kelly Group”, ep RawRecords.

De debuut-ep van een internationaal kwartet rond de Iers-Belgische vocaliste Natashia Kelly. Haar begeleiders ging ze zoeken in de muziekscene waar improvisatie en soundscapes de ankerpunten vormen. We noemen de Chileense electro-goochelaar van dienst Juan Parra Cancino, de Britse gitarist Edmund Lauret (Nordmann) die hier helemaal in het spoor treedt van Ruben Machtelinckx (Linus) en Benjamin Sauzereau (Book Of Air, Blue Monday People) en basist Brice Soniano (3/4 Peace, Carate Urio Orchestra). Samen creëren ze een luisterspel in vier hoofdstukken. Niemand is ondergeschikt aan de andere. Ze musiceren op één lijn. Kelly gebruikt haar stem hoofdzakelijk als een extra instrument. Enkel in de versie van Dylan’s “Ballad Of A Thin Man” schittert ze boven haar partners uit en klinkt ze als het nichtje van Laurie Anderson en Joanna Newsom.

Overtuigend debuut. (gtb)

Recensie van Danny Debock in het jazzblad www.jassepoes.be

Natashia Kelly Trio, gezien in Jazz Ora, Leuven vrijdag 18 oktober 2013

Natashia Kelly, zang; Benjamin Sauzereau, elektrische gitaar; Laurens Smet, contrabas

"...Sarah Vaughan, die kon volgens Marc Van Den hoof live bij ‘Misty’ de indruk geven onwezenlijk laag te gaan zingen terwijl in feite de pianist overnam. In Leuven hoorden we Natashia Kelly en Benjamin Sauzereau iets gelijkaardigs doen in het hoge register. Een hoge noot bleef zij schijnbaar zo lang aanhouden dat het niet waar kon zijn… Pure schoonheid in een less is more-jasje.3